Erdogan condamne fermement l'agression israélienne en Syrie

11:2725/05/2025, dimanche
MAJ: 25/05/2025, dimanche
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Cette photo prise et diffusée par le service de presse présidentiel turc à Istanbul, Türkiye, le 24 mai 2025, montre le président turc Recep Tayyip Erdogan (C-D) et le président syrien devenu intérimaire Ahmed al-Sharaa (C-L) posant lors de leur rencontre.
Crédit Photo : HANDOUT / TURKISH PRESIDENTIAL PRESS SERVICE / AFP
Cette photo prise et diffusée par le service de presse présidentiel turc à Istanbul, Türkiye, le 24 mai 2025, montre le président turc Recep Tayyip Erdogan (C-D) et le président syrien devenu intérimaire Ahmed al-Sharaa (C-L) posant lors de leur rencontre.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a fermement condamné l'occupation et les agressions israéliennes sur le sol syrien, réitérant l'engagement d'Ankara à s'y opposer sur toutes les plateformes internationales.

Erdogan a reçu samedi son homologue syrien Ahmed al-Charaa, au palais de Dolmabahce à Istanbul, pour discuter des relations bilatérales et des développements régionaux, selon un communiqué de la présidence turque.


Au cours de l'entretien, Erdogan a réaffirmé le soutien constant de la Türkiye à la Syrie, exprimant sa conviction qu'un avenir plus stable et pacifique attend le pays.


Il a salué la récente levée des sanctions américaines et européennes contre la Syrie, soulignant l'importance de préserver l'intégrité territoriale syrienne et une gestion centralisée de l'État et de son armée.


Le président turc a fermement condamné l'occupation et les agressions israéliennes sur le sol syrien, réitérant l'engagement d'Ankara à s'y opposer sur toutes les plateformes internationales.


Il a également assuré que la coopération turco-syrienne, notamment dans les domaines de l'énergie, de la défense et des transports, continuera de se renforcer.

De son côté, le président al-Charaa a remercié son hôte pour son rôle déterminant joué dans la levée des sanctions.


La réunion s'est tenue en présence de plusieurs hauts responsables turcs, dont le ministre des Affaires étrangères, Hakan Fidan, le ministre de la Défense, Yasar Guler et le chef du renseignement, Ibrahim Kalın.


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