Le Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) a exprimé, vendredi, sa "tristesse" face à la "libération de la parole raciste" dans le milieu scolaire, causant une augmentation "inquiétante" en France du nombre "de femmes et de jeunes filles (...) victimes de propos et comportements discriminatoires (...) au sein des sanctuaires que sont l’école et l’Université".
Comme rapporté ce vendredi par Anadolu, une lycéenne a été exclue de cours et placée en garde à vue, après avoir accusé son professeur d’islamophobie et de racisme, selon une information révélée jeudi soir par son avocate maître Lucie Simon sur ses réseaux sociaux.
Les faits sont intervenus après un incident lié au port d’un kimono par l’élève, un vêtement sportif qualifié de tenue à connotation religieuse par le professeur en question.