
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé mercredi son intention de présenter un train de mesures à l’encontre d’Israël. Celui-ci inclurait la suspension du soutien bilatéral, un gel partiel de l’Accord d’association, ainsi que des sanctions visant certains ministres jugés extrémistes.
Von der Leyen a également promis de cibler par des sanctions les ministres israéliens extrémistes et les colons violents, en plus de restreindre certains volets commerciaux de l’Accord d’association.
Ce dispositif, a-t-elle précisé, sera mené en coordination avec des partenaires régionaux et s’appuiera sur la dynamique lancée lors de la conférence de New York organisée par la France et l’Arabie saoudite.
La présidente de la Commission a en outre réclamé la libération des otages, un accès humanitaire sans entrave et un cessez-le-feu immédiat, soulignant que seule la solution à deux États permettrait durablement aux Israéliens et aux Palestiniens de vivre en sécurité côte à côte.