Un journal américain a déclaré que l'administration du président Joe Biden s'inquiète de la possibilité que de nombreux journalistes arrivent à Gaza suite à la trêve humanitaire, ce qui contribuerait à révéler davantage de brutalités israéliennes commises là-bas.
Le journal "Politico" a ajouté, dans son rapport:
Biden a fermé ses oreilles pour ne pas entendre des voix au sein de son parti appelant à un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas.
Selon le communiqué, l'accord prévoit dans un premier temps l'échange de 50 prisonniers israéliens, dont des femmes et des enfants civils, dans la bande de Gaza, contre la libération d'un certain nombre de femmes et d'enfants palestiniens détenus dans les prisons israéliennes, à condition que le nombre de personnes libérées soit augmenté au cours des étapes ultérieures de la mise en œuvre de l’accord.
La déclaration qatarie intervient après deux annonces plus tôt mercredi, par le gouvernement israélien et le Hamas, de leur approbation de l'accord de trêve.
Le 7 octobre, le Hamas a capturé environ 239 Israéliens, dont des militaires de haut rang, dans des colonies et des sites militaires autour de Gaza, et souhaite les échanger contre plus de 7 000 détenus palestiniens dans les prisons israéliennes.
Depuis le 7 octobre, l'armée israélienne mène une guerre dévastatrice contre Gaza, faisant plus de 14 128 morts Palestiniens, dont plus de 5 840 enfants et 3 920 femmes, ainsi que 33 000 blessés, dont 75% des enfants et des femmes, selon le bureau médiatique du gouvernement de Gaza.