Quatre centrales syndicales des travailleurs du Niger ont entamé, mercredi, une grève de 48 h pour exiger du gouvernement la satisfaction de certaines de leurs revendications.
Regroupées au sein de "l'Intersyndicale des travailleurs du Niger (ITN)" et comptant parmi les cinq principales organisations syndicales du Niger, les quatre centrales sont l'Union des syndicats des travailleurs du Niger (USTN), la Confédération nigérienne de travail (CNT), la Confédération générale des syndicats libres (CGSL) et l'Union syndicale et progressiste des travailleurs (USPT).
Parmi les engagements, il a cité l'harmonisation des indemnités pour tous les agents de l'État, le recrutement à la Fonction publique des fonctionnaires contractuels de l'éducation et de la santé et le rehaussement du salaire minimum interprofessionnel (Smig).
Le 19 janvier courant, le président de la République Mohamed Bazoum avait reçu à son cabinet les responsables des cinq principales centrales syndicales des travailleurs. Les échanges ont tourné autour des principales préoccupations des travailleurs.