Bande de Gaza: 36 801 morts et 83 680 blessés depuis le 7 octobre, selon le ministère de la santé local

17:488/06/2024, samedi
MAJ: 8/06/2024, samedi
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Un infirmier attend qu'un homme portant une fille blessée se précipite à l'hôpital des Martyrs d'al-Aqsa à Deir al-Balah, dans le centre de la bande de Gaza, après le bombardement israélien d'un appartement résidentiel à Deir al-Balah et d'une zone d'al-Maghazi, le 8 juin 2024, dans le cadre du conflit actuel entre Israël et le groupe militant palestinien Hamas.
Crédit Photo : Bashar TALEB / AFP
Un infirmier attend qu'un homme portant une fille blessée se précipite à l'hôpital des Martyrs d'al-Aqsa à Deir al-Balah, dans le centre de la bande de Gaza, après le bombardement israélien d'un appartement résidentiel à Deir al-Balah et d'une zone d'al-Maghazi, le 8 juin 2024, dans le cadre du conflit actuel entre Israël et le groupe militant palestinien Hamas.

La guerre israélienne déclarée au Hamas dans la bande de Gaza, depuis le 7 octobre dernier, a fait jusqu'à samedi 8 juin, 36 801 morts, a indiqué le ministère de la santé de l'enclave palestinienne assiégée.

Au 246e jour du conflit, le ministère de la santé local fait état, dans son bilan quotidien des victimes, de
'' 36 801 morts et 83 680 blessés''.

"L'armée de l'État hébreu a perpétré cinq carnages contre des familles gazaouies au cours des dernières 24 heures, qui ont fait au moins 70 morts et 150 blessés'',
ajoute le ministère qui fait état, en outre, de '
'plusieurs victimes toujours ensevelies sous les décombres et jonchant les routes, les ambulances et les équipes de la protection civile n'ayant pas parvenu à les atteindre.''

Depuis le 7 octobre, Israël mène une guerre à outrance dans la bande de Gaza qui a fait plus de 120 000 victimes civiles (entre morts et blessés), en majorité des enfants et des femmes, et près de 10 000 personnes portées disparues dans un contexte de famine et de destruction massive, selon des données palestiniennes et de l'Onu.


Israël poursuit sa guerre déclarée au mouvement Hamas, malgré que le procureur général de la Cour pénale internationale (CPI), basée à La Haye, a demandé l'émission de mandats d'arrêt internationaux contre le premier ministre israélien Benyamin Netanyahu et son ministre de la Défense Yoav Gallant pour
"crimes de guerre''
et
"crimes contre l'humanité'',
et en dépit d'une résolution adoptée par le Conseil de sécurité appelant à un
"cessez-le-feu immédiat.” ​​​​​​​

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