
La FIFA annonce un Prix de la Paix, à remettre en décembre 2025, vraisemblablement à Donald Trump, figure controversée, proche de Gianni Infantino. Cette initiative vise à promouvoir l’unité par le football, mais soulève de graves questions éthiques. Alors que des experts de l’ONU, la CIJ et Amnesty International qualifient les actions israéliennes à Gaza de génocide en cours, Israël n’est ni sanctionné ni exclu par la FIFA. L’organisation persiste dans une diplomatie sélective, détachée des réalités humanitaires, compromettant sa crédibilité morale.
Paix à géométrie variable
FIFA coloniale ?
Ce double standard n’est pas anodin. Il reflète une géopolitique du sport alignée sur les puissances occidentales, États-Unis en tête, et leurs alliés stratégiques. Le choix probable de Trump comme premier lauréat en est la preuve : ancien président ayant reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël contre le droit international, défenseur de la colonisation, et promoteur du "Deal du siècle" largement rejeté par la communauté internationale.









