
Le réseau professionnel LinkedIn a annoncé qu’il allait, à partir de ce lundi, utiliser les données publiques de ses utilisateurs dans l’Union européenne et plusieurs autres régions du monde pour entraîner ses modèles d’intelligence artificielle générative, selon un billet de blog publié par l’entreprise.
Basée en Californie et rachetée par Microsoft en 2016, la plateforme aux un milliard d’utilisateurs a précisé que les éléments concernés incluent les profils, publications, articles, réponses et CV enregistrés dans le cadre de candidatures, afin d’alimenter ses outils d’IA générative.
Les utilisateurs peuvent désactiver cette option à tout moment depuis les paramètres de confidentialité du site. Les comptes de mineurs seront également exclus, même si la préférence apparaît activée.
Déjà mise en œuvre aux États-Unis, cette politique est désormais étendue au Royaume-Uni, à la Suisse, au Canada et à Hong Kong.









