L’homme de notre époque est confronté à un immense fléau. Au fil de l’histoire, des sectes dévoyées, des individus égarés et des organisations perverties sont apparus entre les religions et les nations.
Avec sang-froid, on constate qu’il y a environ 11 millions de Juifs en Israël, près de 9 millions aux États-Unis et un total mondial d’environ 30 millions de personnes adhérant au sionisme. On parle d’une structure qui enveloppe l’humanité entière. Chrétiens, musulmans et les fidèles d’autres religions seraient mis en état de servitude par cette construction.
Dans les guerres, des combattants sont blessés et évacués vers des hôpitaux de campagne. Les détenus, les blessés, les enfants et les femmes bénéficient d’une immunité. Aujourd’hui, parmi les centaines de violations commises par Israël, aucune ne correspond à ce qui se passe dans un conflit ordinaire.
Il semble évident que la morale accumulée depuis Adam — les valeurs forgées par les religions, les cultures, les civilisations et notamment par la civilisation occidentale — a été en grande partie jetée aux orties ; Israël est revenu à la loi de la jungle.
Même entre deux clans en conflit, il existe un droit : lorsqu’un accord est conclu, le cadre légal et les conditions de l’accord doivent être respectés.
L’ardeur qui nous fait face est telle qu’Israël n’est limitée ni par le droit, ni par la loi, ni par la vertu.
La puissance des États-Unis ne suffit pas à contenir Israël ; Trump a réussi à réunir neuf pays musulmans et une vingtaine de pays européens pour conclure un cessez-le-feu entre le Hamas et Israël. Mais il est apparu que cet accord n’avait aucune signification effective.
Il est compréhensible qu’Israël prenne en compte l’Allemagne, la France, l’Angleterre ou d’autres pays. Pourtant, aux États-Unis, des influenceurs des réseaux sociaux importants ou des cercles MAGA se demandent : comment une population de 9 millions peut-elle commander sur une nation de 350 millions ? Qui est le plus grand, les États-Unis ou Israël ?
À mon sens, Trump n’a pas la force d’affronter Israël seul. Israël s’est tellement infiltré au cœur des États-Unis qu’il a montré sa capacité à neutraliser, à sa guise, une haute personnalité américaine. L’assassinat de Charlie Kirk en est un exemple des plus troublants.
Aux États-Unis, membres du Congrès et hommes politiques soutiennent Israël comme s’ils le vénéraient. Cette situation s’explique par le soutien de l’organisation de lobbying AIPAC aux élus du Congrès et de la Chambre des représentants, si bien que personne n’ose s’opposer à eux.
Pour que justice soit rendue dans le monde, les États-Unis doivent adopter une position indépendante vis-à-vis d’Israël. De même, il est essentiel que le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne agissent en tant qu’États souverains et indépendants.
Bien que la Russie et la Chine paraissent, à première vue, en dehors de ce processus de mise en servitude, on n’a pas observé de réaction significative de la part de la Russie ou de la Chine quand il s’agit d’Israël. À cet égard, il apparaît que la Chine, deuxième économie mondiale, ne défend ni la justice ni le droit à l’échelle globale ; face aux massacres d’Israël, elle est restée presque aussi silencieuse que la Suisse.
Türkiye et l’Espagne ont fait preuve d’une résistance notable sur ce sujet ; certains pays d’Amérique latine et d’Europe se sont également joints à eux.
Par ailleurs, l’impact le plus fort contre Israël a été celui de la Coalition de l’Humanité qui est descendue dans la rue. Aujourd’hui, il y a une grande bataille entre la conscience des peuples et Israël.
Ce que subissaient autrefois les Juifs sous la persécution nazie, la Coalition de l’Humanité doit, pas à pas, suivre — par les organisations de la société civile, les États, les individus conscients et les citoyens dans la rue — ce génocide, ces massacres et ces illégalités. Du chef d’État au chef de gouvernement, des militaires au citoyen de la rue, tous les responsables doivent être suivis et fournir une base afin que, comme pour les nazis, les sionistes puissent être poursuivis et jugés.
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