
Le ministère de la Santé de la bande de Gaza a annoncé, dimanche, que le bilan de la campagne génocidaire d'Israël contre les Palestiniens s'élevait à 52 243 morts et 117 639 blessés depuis le 7 octobre 2023.
Le ministère a noté qu'un certain nombre de victimes se trouvaient encore sous les décombres et jonchaient les routes, les équipes des ambulances et de la protection civile ne parvenant pas à les atteindre.
Début mars, la première phase d'un accord de cessez-le-feu et d'échange de prisonniers entre le Hamas et Israël a été achevée. L'accord en trois phases, entré en vigueur le 19 janvier 2025, avait été facilité par l'Égypte et le Qatar et soutenu par les États-Unis.
Alors que le Hamas a adhéré aux termes de la première phase, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu, recherché par la Cour pénale internationale, a unilatéralement revenu sur ses engagements dans le cadre de la deuxième phase, par conformisme avec les extrémistes de sa coalition au pouvoir, selon les médias hébreux.
Depuis le 18 mars, Israël a repris ses crimes génocidaires en lançant des frappes aériennes violentes et à grande échelle, dont la plupart ont ciblé des civils, notamment des maisons et des tentes abritant des personnes déplacées.
Depuis le 7 octobre 2023, Israël, avec un soutien américain, commet un génocide contre les Palestiniens de Gaza, doublé d'un blocus étouffant qui a plongé la bande de Gaza dans des conditions humanitaires catastrophiques sans précédent.