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Le 16 mars dernier, l'ancien président Nicolas Sarkozy a été auditionné par la commission d'enquête visant à établir les raisons de la perte de souveraineté et d'indépendance énergétique de la France à l’Assemblée Nationale, à l’écart des événements qui agitent la France avec les manifestations contre la réforme de la retraite.
Connu pour son franc-parler, l’ancien président français, fervent défenseur du nucléaire, s’est activé pendant plus de 2 heures à expliquer la justesse de sa politique nucléaire au regard des événements présents et à railler son successeur, François Hollande et ses opposants, qui l’avait qualifié à l’époque de
"président d’un autre siècle".
Interrogé sur le marché commun en Europe et le Brexit, Sarkozy a souligné croire en l’Union européenne, et précisé que pour lui le Brexit fut une erreur.
Il lança par la suite une diatribe contre l’Europe,
"le continent le plus brutal, où il y a eu les guerres les plus sauvages… C’est en Europe qu’on a exterminé des juifs"
De tous les continents du monde, l’Europe est le continent le plus brutal, le plus sauvage et peut verser dans la barbarie.
Rappelant la Bosnie, Sarkozy a contextualisé la guerre russo-ukrainienne qui n’est en rien, selon lui, un retour de la guerre en Europe et que prétendre cela serait
"d’une stupidité".
Ce dernier a conclu en précisant que s’il n’y a pas l’Union Européenne, il y aurait des risques
"considérables d’affrontements".
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