
La Flottille Sumud, mission humanitaire non violente vers Gaza, a été interceptée par Israël, violant le droit international et les droits humains. Le régime israélien, accusé de crimes de guerre et de violations contre la population palestinienne, bloque l’accès à l’aide vitale, aggravant la famine et la crise humanitaire. L’article souligne l’obligation d’Israël de libérer les détenus, restituer les navires, faciliter l’aide et reconnaître sa responsabilité juridique internationale pour ses actes.
Israël continue d’imposer un régime violent et génocidaire, ayant attaqué sept pays en deux ans et détruit presque totalement la bande de Gaza. Des milliers de Palestiniens ont été tués ou blessés, déclenchant une réaction mondiale et renforçant le mouvement pour la libération de la Palestine.
Le droit international protège cette action. La liberté de navigation est garantie lorsque l’objectif est humanitaire. Le droit coutumier interdit les blocus visant à affamer les civils (San Remo Manual, règles 102-103). Israël a violé ces règles, aggravant les conditions de survie des Palestiniens.
Les actions d’Israël constituent aussi des violations flagrantes des droits humains. Les navires ont été endommagés et les individus maltraités, mettant en danger leur vie, liberté et sécurité, protégées par les articles 6, 7 et 9 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Israël persiste dans sa stratégie de famine, faisant de l’interception de la flottille un élément de son crime de génocide. La responsabilité internationale d’Israël implique la libération immédiate des détenus, le retour des navires, une compensation adéquate, des excuses publiques et l’arrêt de ses actions génocidaires.
Les États doivent intervenir pour protéger les droits des passagers, et la juridiction universelle pourrait faciliter les poursuites dans plus de 40 juridictions. La CPI et la CIJ doivent inclure ces actes dans le cadre des investigations sur les crimes humanitaires à Gaza.
La Flottille Sumud illustre la lutte pacifique pour la vie et la dignité des Palestiniens, rappelant au monde que l’obstruction israélienne à l’aide humanitaire constitue un crime contre l’humanité et un acte de génocide.