
Sous couvert de cessez-le-feu, Gaza vit une guerre silencieuse. Le journaliste Saleh Al-Jafarawi a été abattu par les Forces populaires, une milice palestinienne armée et financée par Israël. Dirigée par Yasser Abu Shabab, cette faction contrôlerait certaines zones et bloquerait l’aide humanitaire, selon plusieurs enquêtes de l’ONU. Derrière ce meurtre, se cache une stratégie israélienne : fragmenter Gaza de l’intérieur et faire taire les voix qui témoignent des crimes commis contre les civils.
Un cessez-le-feu trompeur à Gaza
Officiellement, un cessez-le-feu est en vigueur à Gaza. Les échanges d’otages continuent et les bombardements se sont arrêtés. Pourtant, la guerre n’a pas cessé : elle a simplement changé de visage. Derrière la trêve annoncée, une guerre interne mine l’enclave palestinienne, alimentée par des acteurs locaux soutenus par Israël.
Le journaliste Saleh Al-Jafarawi abattu par une milice pro-israélienne
Une milice au service de la stratégie israélienne
Ces accusations soulignent une stratégie d’Israël : soutenir des milices locales pour fragmenter la société gazaouie et affaiblir le Hamas sans intervention directe.
Un meurtre symbole d’une guerre médiatique
Tous avaient un point commun : ils documentaient les bombardements, les destructions et les souffrances civiles.
Faire taire pour mieux contrôler le récit
Israël mène, selon des analystes, une guerre de l’information parallèle au conflit militaire. En finançant des acteurs internes, il crée un climat de peur et de désordre. Ce chaos permet de justifier de futures offensives tout en dissimulant ses propres exactions.