Dans un monde où un enfant meurt toutes les 5 minutes sous les bombardements du gang génocidaire sioniste, il ne devrait pas y avoir de question plus importante à traiter. Mais la dimension de plus en plus douloureuse de la question est qu'elle devient une routine de la vie alors que des maux et des crimes contre l'humanité sont commis chaque heure de chaque jour . Le bombardement d'hôpitaux, le ciblage d'enfants, de personnes âgées, de femmes, de civils et l'assassinat barbare et prémédité de civils
Dans un monde où un enfant meurt toutes les 5 minutes sous les bombardements du gang génocidaire sioniste, il ne devrait pas y avoir de question plus importante à traiter. Mais la dimension de plus en plus douloureuse de la question est qu'elle
devient une routine de la vie alors que des maux et des crimes contre l'humanité sont commis chaque heure de chaque jour
. Le bombardement d'hôpitaux, le ciblage d'enfants, de personnes âgées, de femmes, de civils et l'assassinat barbare et prémédité de civils deviennent monnaie courante.
Les familiarités et les habitudes écrasantes érodent les parties de nous qui font face à la douleur et à la brutalité, et nous habituent à accueillir les choses les plus improbables du monde comme les choses les plus ordinaires du monde.
Israël poursuit ses attaques enragées pour détruire le Hamas, plaçant la barre de plus en plus haut chaque jour. Le soulèvement mondial des consciences à son encontre se poursuit chaque jour. Mais rien de tout cela n'est suffisant pour arrêter la rage d'Israël.
La Türkiye a peut-être émis les critiques les plus ouvertes et les plus fortes à l'encontre d'Israël au sein du monde avec lequel elle entretient des relations, mais ces critiques, ces condamnations et ces critiques sévères n'ont pas suffi à arrêter Israël.
En fait, ces deux formes d'action se poursuivent, habituées l'une à l'autre et adaptées à la cohabitation.
En d'autres termes, l'Israël génocidaire a acheté les mouvements de protestation et les discours de la Türkiye ou des peuples du monde, dans le langage du marché ; en d'autres termes, il ne s'en soucie plus.
Il sait que personne ne peut l'arrêter, à l'exception des États-Unis, qui nourrissent et soutiennent son audace. Il est donc plus correct de s'adresser aux États-Unis, et non à Israël. Les États-Unis sont les véritables responsables et coupables du génocide à Gaza.
Sinon, pourquoi s'opposent-ils aux appels au
au nom de l'arrêt des crimes contre l'humanité accumulés par les opérations israéliennes qui n'ont abouti qu'à la mort d'enfants, de vieillards, de femmes et de civils ? Ce sont les Etats-Unis qui veulent que les attaques israéliennes enragées qui conduisent à la mort d'enfants se poursuivent, et ce sont donc les Etats-Unis qui paieront la facture de l'échec inévitable d'Israël.
Nous assistons à un soulèvement des consciences dans le monde entier qui se mobilise contre le génocide israélien. Hier, lors des grandes marches pour Gaza organisées par la plate-forme de la société civile à Istanbul et à Ankara, de nombreux slogans ont été lancés et l'accent a été mis sur le fait que le véritable agresseur est les États-Unis et qu'Israël est l'élément déclencheur.
L'aspect le plus frappant de la marche était qu'elle était combinée à une réaction contre les attaques du PKK depuis le nord de l'Irak il y a deux jours, qui ont fait 12 martyrs parmi nos soldats.
Le soutien croissant dans le monde à la résistance à Gaza, qui met l'occupant hors d'état de nuire, rend Israël et son propriétaire, les États-Unis, fous et furieux. Avec cette folie, ils s'éloignent de plus en plus de l'objectif de détruire le Hamas avec les attaques qu'ils ont lancées et
en se défoulant sur les civils et les enfants. En faisant attaquer le PKK, qui est un instrument important du projet israélien, nous comprenons qu'ils veulent se défouler sur la Türkiye.
C'est exactement ce que comprennent les foules qui marchent pour Gaza et qui identifient la terreur du PKK avec les attaques barbares d'Israël contre les habitants de Gaza. Peu importe à quel point les experts parmi nous essaient de mettre une distance entre la Türkiye et la Palestine, ni Israël ni les États-Unis, et donc ni le PKK, ne voient cette distance, ils les considèrent comme directement liés.
Quand Israël frappe les Gazaouis, la Türkiye est touchée, et quand la Türkiye frappe le PKK, c'est Israël qui est blessé.
En Türkiye, lorsqu'il s'agit de la Palestine, il existe une sensibilité qui unit tout le monde, gauche-droite, Turcs-Kurdes-Arabes-Circassiens-Bosniaques, etc. La Palestine est une cause qui élimine toutes les divisions en Türkiye comme dans l'ensemble du monde islamique, qui unit et réunit les gens en un seul endroit.
Cependant, tout comme cette cause commune, cette sensibilité commune, il y a aussi un segment que la volonté qui a établi Israël a planté en Türkiye avec ses réseaux d'éducation, d'idéologie et d'intérêt
, et nous le voyons une fois de plus et très clairement à cette occasion. Bien sûr, il n'est pas surprenant de voir que les mêmes personnes, qui disent immédiatement "ce pays est invivable" lorsque le taux du dollar augmente un peu et que l'inflation augmente un peu, s'accrochent au ballon
"les Palestiniens ont vendu leur terre"
qu'ils ont eux-mêmes gonflé et tentent de diluer la résistance de la vaillante population de Gaza d'aujourd'hui.
Pendant un siècle, ils ont essayé de semer exactement une telle génération de sédition en Türkiye.
Bien entendu, le soutien des États-Unis à Israël à Gaza contre le
, qu'ils considèrent comme une organisation terroriste, ne s'arrête pas aux frontières de la Palestine. Les États-Unis, qui considèrent le Hamas comme une organisation terroriste, comme un mouvement des forces nationales résistant à une puissance occupante génocidaire et
afin de protéger sa propre patrie et son honneur, ne traitent pas le PKK, qui est reconnu et classé comme une organisation terroriste au sens réel contre la Türkiye, comme un terroriste dans la pratique, et soutiennent pleinement ses activités terroristes contre la Türkiye.
En fait, les États-Unis ont la même logique et la même raison pour leur soutien au PKK et leur soutien à Israël.
Le soutien qu'ils apportent au PKK ou à ses extensions PYD et JPG dans le nord de la Syrie est directement lié à la politique israélienne.
Pour les États-Unis, le PKK n'est qu'un instrument dans les futures stratégies d'expansion d'Israël.
Le fait qu'ils continuent à soutenir le PKK malgré toute l'insistance de la Türkiye, leur allié stratégique depuis soixante-dix ans, leur partenaire au sein de l'OTAN, est directement lié aux politiques israéliennes. Pour les États-Unis, Israël est la raison la plus importante de toutes leurs incohérences et des politiques d'alliance qui les poussent à ne pas tenir leurs promesses.
Aujourd'hui, le succès de la Türkiye dans la lutte contre le terrorisme est évident.
Les conditions sociologiques et politiques internes qui fournissent des motifs et des excuses au terrorisme ont été corrigées dans une large mesure et les excuses aux mains du terrorisme ont été supprimées une à une. Un long chemin a également été parcouru jusqu'à présent en termes de sécurité.
Aujourd'hui, le terrorisme en Türkiye n'est plus le résultat des processus démocratiques ou sociologiques internes de la Türkiye.
Dans le passé, la cause profonde était la même, mais elle pouvait trouver des espaces libres dans l'État et la société. Aujourd'hui, la seule source de terrorisme est Israël, les États-Unis et certains pays de l'UE. C'est pourquoi nous devons être conscients de la guerre que nous menons.
Cette conscience s'éveille en voyant que la cible de l'attaque contre Gaza est la Türkiye et que la résistance a pour dimension la défense de la Türkiye.
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