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Un manifestant crie dans un mégaphone tandis qu'une banderole portant l'inscription "Stop à l'austérité, au réarmement, démission de Macron, grève générale" est brandie à Montpellier, dans le sud de la France, le 18 septembre 2025, lors d'une journée de grèves et de manifestations nationales organisées par les syndicats au sujet du budget national français.
Lancée à l’appel de plusieurs syndicats pour protester contre la réforme des retraites et la dégradation du pouvoir d’achat, la grève nationale du 18 septembre a donné lieu à de vives tensions à travers toute la France.
Selon le ministère de l’Intérieur, 309 personnes ont été interpellées, dont 134 placées en garde à vue, principalement pour des faits de violences, dégradations et participation à des cortèges non autorisés.
Le ministre démissionnaire de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a réagi en affirmant que la France n’avait pas
et se réjouissant qu’en matière sécuritaire, cette journée était
À lui de poursuivre,
"c’est la force de la loi qui s’impose, pas la loi de la jungle".
En marge de cette grande journée de grève à laquelle se sont joints notamment les pharmaciens, d’importantes mesures sécuritaires, dont un fort effectif, avaient été déployées pour éviter les débordements.
Pour rappel, la semaine dernière, la France avait déjà été secouée par une première vague de manifestation pour protester contre le budget proposé par l’ancien premier ministre Bayrou.
Dans la foulée de sa démission intervenue le même jour, Emmanuel Macron avait fait le choix de nommer à la tête du gouvernement, Sébastien Lecornu, son ministre de la Défense
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