De la fumée s'élève à la suite d'un bombardement israélien dans la Bande de Gaza.
Au moins neuf Palestiniens, dont des enfants, ont été tués dans des frappes aériennes israéliennes à Gaza. Israël fait face à une condamnation internationale malgré les appels à un cessez-le-feu. La situation humanitaire reste critique.
Dans une déclaration distincte, la défense civile a également mentionné l'extraction d'au moins un Palestinien tué dans une attaque contre une maison appartenant à la famille Abu Olba, dans le quartier de Sheikh Radwan, au nord de Gaza.
D'autres frappes aériennes ont été signalées dans diverses zones de la Bande de Gaza cette nuit-là, provoquant des pertes parmi la population palestinienne, mais les autorités sanitaires n'ont pas encore confirmé le nombre exact de victimes.
Israël est confronté à une condamnation internationale pour sa poursuite des attaques brutales contre Gaza depuis le 7 octobre, malgré une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU exigeant un cessez-le-feu immédiat. Selon les autorités sanitaires locales, plus de 37 100 Palestiniens, dont une majorité de femmes et d'enfants, ont péri à Gaza, tandis que près de 84 700 autres ont été blessés depuis le début de l'offensive israélienne il y a huit mois.
À présent, de vastes étendues de la Bande de Gaza sont réduites en ruines et soumises à un blocus étouffant qui prive les habitants de nourriture, d'eau potable et de médicaments. Israël est actuellement accusé de
"crime de génocide"
devant la Cour internationale de Justice (CIJ). La dernière ordonnance de la Cour a enjoint Tel-Aviv de cesser immédiatement ses opérations dans la ville de Rafah, au sud de Gaza, où plus d'un million de Palestiniens s'étaient réfugiés avant son invasion le 6 mai dernier.
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