(De gauche à droite) Alexei Miller, directeur général de Gazprom, Boyko Borisov, premier ministre bulgare, Vladimir Poutine, président russe, Recep Tayyip Erdogan, président turc, et Aleksandar Vucic, premier ministre serbe, assistent à la cérémonie d'inauguration du nouveau gazoduc "TurkStream", le 8 janvier 2020 à Istanbul. Le président turc Recep Tayyip Erdogan accueille son homologue russe Vladimir Poutine pour inaugurer un nouveau gazoduc, alors que les tensions en Libye et en Syrie sont également à l'ordre du jour. Le projet TurkStream, qui a été temporairement interrompu pendant une période de gel des relations entre la Russie et la Türkiye, comprend deux gazoducs parallèles de plus de 900 kilomètres (550 miles).
La Russie a affirmé, samedi, que l'Ukraine avait tenté d'attaquer une station approvisionnant en gaz naturel, le gazoduc TurkStream. L'attaque a été menée par des drones lors de la visite du président ukrainien Volodymyr Zelensky aux Etats-Unis.
Trois drones ont tenté d'attaquer la station de compression dans la région de Krasnodar dans la nuit de vendredi à samedi, alors que Zelensky se trouvait aux États-Unis, selon un communiqué du ministère russe de la défense.
Celui-ci a ajouté que l'attaque visait à interrompre les expéditions de gaz naturel vers l'Europe.
Soulignant que tous les drones ont été abattus par les systèmes de défense antiaérienne, le ministère a déclaré qu'aucun dommage n'a été signalé à la station.
Il a ajouté que les expéditions de gaz naturel vers TurkStream à partir de la station de compression se sont poursuivies normalement.
Le 13 janvier, le ministère russe de la défense a annoncé que l'Ukraine avait tenté d'attaquer la même station avec neuf drones.
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