Quelque 90 professeurs de droit et de sciences politiques tunisiens ont dénoncé dans une déclaration commune ce qu'ils ont qualifié de "flagrante violation des principes de l'État de droit", en réaction à l'amendement de la loi électorale par l'Assemblée nationale, le 27 septembre dernier.
La campagne présidentielle a débuté le 14 septembre et se poursuivra jusqu'au 4 octobre, avant le scrutin prévu le 6 octobre en Tunisie et dès le 4 octobre à l'étranger.