Dans une Syrie sans les États-Unis, il y aura deux points d'interrogation importants pour la Türkiye. Le premier. Quel sera l'avenir du dialogue Ankara-Damas ? Deuxièmement. Comment l'organisation terroriste PKK sera-t-elle éliminée de Syrie ?
Il existe trois obstacles au rapprochement Ankara-Damas. Le premier. Poutine attend les élections américaines pour agir. Il garde le dossier ouvert. Deuxièmement, l'Iran n'est pas à l'aise avec le rapprochement entre Ankara et Damas. L'Iran n'est pas à l'aise avec le processus de normalisation, car il craint de perdre ses acquis. Troisièmement. Comme l'a souligné le ministre turc des affaires étrangères Fidan, Damas ne s'assoit pas à la table en son nom propre (l'influence russo-iranienne est ici sous-entendue).
Ce qu'il adviendra du PKK dans une Syrie sans les États-Unis est également un point d'interrogation important. Ankara se prépare à terminer le travail inachevé d'abord en Irak, puis en Syrie. Une telle préparation a sans aucun doute un aspect qui concerne Téhéran.
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