Les hommes sont aussi touchés par les oukazes du MPVPV, poursuit l'Unama. Le rapport cite des cas d'Afghans flagellés en public pour manque d'assiduité à la mosquée, de barbiers arrêtés ou violentés pour avoir rasé des clients.
S'il existe désormais un mécanisme de recueil de plaintes de la population contre des abus de la part du MPVPV, les femmes en sont de facto quasiment écartées, et les Afghans en général ne lui font pas confiance, selon l'Unama.