En Nouvelle-Zélande, la communauté maorie exprime sa vive opposition à un projet de loi proposé par le gouvernement, qui modifie l'interprétation des relations entre l'État et les peuples autochtones, en particulier le traité historique de Waitangi.
Ce traité, signé en 1840 entre la couronne britannique et les dirigeants maoris, est au cœur des droits et des relations entre les Maoris et le gouvernement néo-zélandais.
Le Premier ministre Christopher Luxon a réagi en soulignant que les Néo-Zélandais ont le droit d'organiser des manifestations pacifiques et a exprimé sa volonté de rencontrer les manifestants une fois qu'ils arriveraient à Wellington. Il a déclaré que son gouvernement était ouvert au dialogue, tout en soulignant les défis législatifs entourant la question.