Le président des États-Unis Donald Trump fait un geste lors de la cérémonie de prestation de serment du Dr Mehmet Oz en tant qu'administrateur de Medicare and Medicaid Services dans le bureau ovale de la Maison Blanche, le 18 avril 2025 à Washington, DC. Mehmet Oz a fait part de sa volonté de permettre aux Américains d'accéder à des soins de qualité tout en réduisant les maladies chroniques et en modernisant les systèmes Medicare et Medicaid.
Le président américain Donald Trump a estimé vendredi qu'il existait une "très bonne chance" de parvenir à un accord entre la Russie et l'Ukraine.
"Nous allons voir si cela est possible. Je pense que nous avons une très bonne chance d'y parvenir",
a déclaré Trump à des journalistes depuis la Maison Blanche.
Réaffirmant sa conviction que le conflit n'aurait
"jamais éclaté"
s'il avait été à la tête du pays dès le départ, le président a dénoncé les pertes humaines en cours.
"Beaucoup de gens sont tués pendant que nous parlons… Nous n'allons pas accepter cette issue… Nous verrons. Je pense que nous avons de bonnes chances de résoudre ce problème",
a-t-il ajouté.
Interrogé par un journaliste qui lui demandait :
"Pensez-vous que la Russie joue avec vous ?",
Trump a répondu :
"Non, personne ne joue avec moi. J'essaie d'aider."
Le président a assuré qu'il poursuivrait ses efforts pour mettre fin au conflit, tout en prévenant que Washington ne s'engagerait pas indéfiniment.
"Nous allons essayer d'arrêter cela, idéalement. Maintenant, si, pour une quelconque raison, l'une des deux parties rend le processus trop difficile, nous leur dirons : Vous êtes des gens horribles, et nous allons passer notre tour. Mais j'espère que nous n'aurons pas à en arriver là."
À la question de savoir s'il envisageait un retrait complet des efforts américains, Trump a affirmé qu'il ne souhaitait pas parler de retrait.
"Nous voulons voir cette guerre se terminer",
a-t-il ajouté.
Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, l'administration Trump s'est engagée dans une série d'initiatives diplomatiques visant à mettre fin aux hostilités.
Le secrétaire d'État Marco Rubio, accompagné des envoyés spéciaux Keith Kellogg et Steve Witkoff, a rencontré jeudi à Paris des responsables européens et ukrainiens pour discuter des voies possibles vers un cessez-le-feu.
Il a toutefois averti qu'il ne poursuivrait pas ces discussions en l'absence de progrès concrets à court terme.
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