
Après avoir été licenciée pour ses critiques à l'égard d'Israël, une universitaire d'origine iranienne a accusé les États-Unis, mardi, de réprimer la dissidence, estimant qu'il s'agissait d'une normalisation de la "gestion fasciste" au sein des universités de haut niveau.
Elle a également établi un lien entre son licenciement et une dynamique politique mondiale plus large.
L'autoritarisme fasciste, qui s'appuie de plus en plus sur la répression, la surveillance et la criminalisation de la résistance.
Cette mesure s'inscrit dans le cadre des efforts déployés par l'administration Trump pour répondre aux allégations d'antisémitisme sur les campus américains. L'administration a établi un lien entre les révisions de financement et les protestations concernant la Bande de Gaza, où les attaques israéliennes depuis octobre 2023 ont tué plus de 50 300 Palestiniens.