
À la veille du vote du Conseil de sécurité de l’ONU sur un projet de résolution américain ouvrant la voie à la création d’un futur État palestinien, Benjamin Netanyahu a une nouvelle fois affirmé son opposition ferme. Le Premier ministre israélien rejette également l’idée d’une "non-démilitarisation présumée de la partie de Gaza", une condition envisagée dans les discussions internationales sur l’après-guerre. Cette prise de position intervient dans un contexte de fortes tensions diplomatiques, alors que Washington tente de relancer un processus politique pour Gaza et la Palestine.
Selon Netanyahu, cette perspective reste inacceptable pour son gouvernement. Il défend une ligne dure, rejetant tout plan susceptible de conduire à une souveraineté palestinienne.
"Il n’y aura pas de non-démilitarisation présumée"
Cette position risque d’accentuer les tensions avec les États-Unis, qui cherchent à imposer un cadre politique pour éviter un vide sécuritaire et ouvrir la voie à un règlement durable.









