Une colonne de fumée s'élève après un bombardement israélien sur des zones situées à l'est du quartier Tuffah, dans l'est de la ville de Gaza, le 18 juin 2025.
Le Hamas accuse Israël et les États-Unis d’avoir mis en place des "pièges mortels" dans le sud de Gaza et à Rafah, entraînant la mort de près de 150 Palestiniens en 24 heures alors qu’ils tentaient d’accéder à l’aide humanitaire distribuée via une organisation rejetée par l’ONU.
Près de 150 Palestiniens ont été tués au cours des dernières 24 heures dans le sud de la Bande de Gaza et à l’ouest de Rafah, alors qu’ils tentaient d’accéder à l’aide humanitaire. Le Hamas dénonce des
"pièges mortels"
mis en place sous la supervision d’Israël et des États-Unis.
Dans un communiqué publié mercredi, le mouvement palestinien de résistance affirme que
"les crimes de l’occupation et ses raids contre les quartiers résidentiels dans divers secteurs de la Bande se poursuivent, en plus du ciblage de citoyens affamés à proximité des pièges mortels américano-sionistes, ce qui a coûté la vie à près de 150 Palestiniens en 24 heures".
Depuis le 27 mai, Tel-Aviv a entamé la distribution d’aides humanitaires à Gaza via l’organisation "Gaza Humanitarian Relief Foundation", une initiative soutenue par Israël et les États-Unis mais rejetée par les Nations unies.
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