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Tiphaine Auzière, la fille de Brigitte Macron, arrive pour témoigner au procès de dix personnes accusées de cyberharcèlement sexiste à l'encontre de l'épouse du président français, à Paris, le 28 octobre 2025.
Dix prévenus comparaissent cette semaine à Paris dans une affaire de cyberharcèlement visant Brigitte Macron, l’épouse du Président français. Parmi leurs arguments de défense figurent la "liberté d’expression" et l’"humour", selon les informations rapportées par la presse française.
La plainte, déposée par Brigitte Macron, porte sur des messages diffusés en ligne depuis plusieurs années lui imputant notamment d’être
une rumeur non fondée et jugée calomnieuse. Ces contenus sont qualifiés de harcèlement ciblé reposant sur son genre et sa vie privée.
Lors de l’ouverture des audiences, les avocats de la défense ont insisté sur le droit à la satire et à la critique en ligne, affirmant que leurs clients exerçaient leur liberté d’expression. De son côté, la plaignante souligne que ce harcèlement constitue une violation grave de sa dignité et un danger pour sa sûreté.
Cette affaire s’inscrit dans un dossier judiciaire plus vaste touchant la vie privée de Brigitte Macron et la lutte contre les rumeurs et les infox dont elle est la cible.
En France, deux femmes ont déjà été condamnées pour diffamation après avoir propagé la rumeur selon laquelle elle
"serait une femme transgenre".
Parallèlement, elle et le Président français Emmanuel Macron ont engagé une procédure en diffamation aux États-Unis contre l’influenceuse américaine Candace Owens, accusée d’avoir contribué à diffuser cette campagne calomnieuse.
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