Le député est accusé d'avoir fomenté un coup d'Etat avec le soutien de deux organisations considérées par le pouvoir comme terroristes et interdites dans le pays, le Pacte national du Tadjikistan et le Parti de la renaissance islamique du Tadjikistan.
Le Tadjikistan est à la 155e place sur 180 du classement pour la liberté de la presse établi par Reporters sans frontière.