Le président des États-Unis Donald Trump prononce un discours lors de sa rencontre avec le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération du Rwanda Olivier Nduhungirehe et la ministre des Affaires étrangères de la République démocratique du Congo Thérèse Kayikwamba Wagner dans le bureau ovale de la Maison-Blanche le 27 juin 2025. La rencontre a eu lieu alors qu'un accord de paix négocié par la Maison Blanche, qui espère mettre fin à un conflit dans l'est de la République démocratique du Congo, a été signé par des représentants des deux nations africaines.
Le président américain Donald Trump a déclaré vendredi avoir mis un terme à tout travail sur un éventuel allègement des sanctions visant l'Iran, après une déclaration jugée hostile du guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei.
"Ces derniers jours, je travaillais à une possible levée des sanctions, ainsi qu'à d'autres mesures, qui auraient permis à l'Iran une reprise totale, rapide et complète – Les sanctions font très mal !",
a-t-il écrit sur sa plateforme Truth Social.
"Mais non, à la place, je reçois une déclaration remplie de colère, de haine et de dégoût. J'ai donc immédiatement abandonné tout projet d'assouplissement des sanctions",
a-t-il ajouté.
Mercredi, Khamenei avait menacé de s'en prendre aux bases américaines dans la région si Washington lançait de nouvelles frappes.
"La République islamique a giflé l'Amérique. Elle a attaqué l'une des bases américaines les plus importantes de la région",
a-t-il déclaré.
Trump a ensuite mis en doute la sincérité de Khamenei, qu'il a pourtant décrit comme un homme de foi.
"Pourquoi le soi-disant “guide suprême”, l'ayatollah Ali Khamenei, du pays ravagé par la guerre qu'est l'Iran, affirmerait-il aussi ouvertement et stupidement qu'il a remporté la guerre contre Israël, alors qu'il sait que c'est faux ?",
a-t-il lancé.
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