Amnesty International s'est déclarée "choquée" par la décision de la Commission des droits de l'Homme de l'Union africaine (UA) d'abandonner son enquête sur les violations des droits humains commises dans la région éthiopienne du Tigré.
Le conflit entre le gouvernement fédéral et les rebelles tigréens, qui a duré deux ans, a été marqué par des allégations de massacres, de viols collectifs et d'autres atrocités commises par toutes les parties.