Trump exige une enquête sur le présumé "triple sabotage" à l'ONU

11:2625/09/2025, jeudi
AA
 Le président Donald Trump et la première dame Melania Trump arrivent à la 80e session de l'Assemblée générale des Nations unies (AGNU) le 23 septembre 2025 à New York.
Le président Donald Trump et la première dame Melania Trump arrivent à la 80e session de l'Assemblée générale des Nations unies (AGNU) le 23 septembre 2025 à New York.

Le président américain Donald Trump a exigé mercredi l'ouverture d'une enquête sur ce qu'il a qualifié de "triple sabotage" lors de son intervention à l'Assemblée générale des Nations unies, citant un incident sur un escalator, une panne du téléprompteur et un problème audio.

Dans un long message publié sur sa plateforme Truth Social, Trump a qualifié ces incidents de
"véritable honte"
et a déclaré qu'il s'agissait de tentatives délibérées visant à le discréditer lors de son discours devant plus de 150 dirigeants mondiaux.

Le président a déclaré que l'escalator qui le transportait, lui et la première dame Melania Trump, vers la salle principale où il devait prendre la parole
"s'était arrêté brusquement"
, les faisant presque tomber. Il s'est également plaint que son téléprompteur soit resté noir pendant les 15 premières minutes de son discours et que le son à l'intérieur de la salle de l'Assemblée générale ait été coupé, empêchant même sa femme de l'entendre.

Un porte-parole de l'ONU a déclaré mardi qu'un caméraman de la délégation américaine, qui marchait à reculons pour filmer l'arrivée de Trump, avait peut-être déclenché par inadvertance le mécanisme de sécurité intégré à l'escalator, provoquant son arrêt.


"Ce n'était pas une coïncidence, c'était un triple sabotage à l'ONU"
, a écrit Trump.
"Ils devraient avoir honte d'eux-mêmes. J'envoie une copie de cette lettre au secrétaire général et j'exige une enquête immédiate".

Il a ajouté que les services secrets étaient impliqués et a exhorté l'ONU à conserver les images de vidéosurveillance autour du bouton d'arrêt d'urgence de l'escalator.


A lire également:






#Donald Trump
#Nations Unies
#sabotage