
L’Élysée a réagi à la polémique sur la labellisation des médias en ciblant CNews et ses éditorialistes, Pascal Praud et Philippe de Villiers, accusés de diffuser des "fausses informations". La riposte a provoqué de vives critiques de la droite et du Rassemblement National, qui dénoncent une dérive autoritaire et un "détournement des institutions". Le débat relance les questions sur la régulation de l’information, la liberté de presse et le pluralisme médiatique, alors que plusieurs responsables politiques alertent sur les risques d’instrumentalisation gouvernementale des médias.
Plusieurs voix politiques ont insisté sur le risque de créer un précédent dangereux, où l’État interviendrait directement pour juger la crédibilité de médias ou d’éditorialistes. La controverse relance le débat sur la frontière entre régulation de l’information et pression politique.
Le débat sur la labellisation des médias a été ravivé après les critiques répétées de CNews sur la politique du gouvernement. Pascal Praud et Philippe de Villiers ont été pointés du doigt par l’exécutif pour leurs propos jugés trompeurs ou biaisés.
La droite et le RN dénoncent une instrumentalisation des institutions par l’Élysée et mettent en garde contre une atteinte à la liberté d’expression. Plusieurs responsables politiques appellent à un encadrement strict des interventions gouvernementales dans le débat médiatique.









