
Lors de son émission sur CNews, Jean-Marc Morandini a violemment confronté Rachida Kaaout sur un sondage IFOP concernant les musulmans, employant des propos jugés racistes et sexistes. Sous la pression, l’élue a quitté le plateau, déclenchant une vive polémique en ligne. L’incident illustre l’usage des sondages pour mettre la pression sur les invités et questionne le rôle des médias dans le respect des débats publics et des personnalités politiques.
Le ton de la discussion a rapidement dépassé le cadre d’un simple échange politique. L’animateur, régulièrement pointé du doigt pour ses méthodes agressives, a utilisé un langage jugé raciste et sexiste par de nombreux internautes. Des termes accusateurs et des remarques sur l’apparence de l’élue ont été relevés par plusieurs spectateurs sur les réseaux sociaux, générant une vague de critiques.
Une pression médiatique jugée excessive
Sur Twitter et Facebook, des milliers de messages ont dénoncé le comportement de l’animateur. Beaucoup ont rappelé ses précédentes polémiques, affirmant que ses méthodes agressives deviennent une constante, et non un incident isolé. Les réactions en ligne reflètent une inquiétude sur le traitement des élus, en particulier des femmes, sur les plateaux télévisés.
Le sondage IFOP, catalyseur de la controverse
Les critiques soulignent que l’usage d’un ton agressif et d’attaques personnelles sur la base d’un sondage risque de détourner l’attention du contenu réel de l’enquête, en focalisant le débat sur le comportement des invités plutôt que sur les chiffres et leurs implications.
Une polémique qui dépasse CNews
Cet incident a rapidement dépassé le cadre de CNews. De nombreux médias en ligne ont repris la séquence, mettant en avant le comportement de Morandini et la réaction de l’élue.









