
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a accusé la France, samedi, de mentir et de violer les accords internationaux.
Après avoir fait confiance à la France, à l'Allemagne et à la Pologne, Ianoukovitch a été évincé par les insurgés, a déclaré Peskov.
Mercredi, Emmanuel Macron a déclaré qu'il entamerait des discussions avec ses alliés sur la possibilité de placer des pays européens sous la protection des forces de dissuasion nucléaire françaises, répondant ainsi à l'appel de Friedrich Merz, pressenti pour devenir le prochain chancelier de l'Allemagne.