Le nombre de morts causés par les frappes israéliennes en Iran s’élève désormais à au moins 639, selon les chiffres publiés jeudi par l’Agence des militants des droits humains (HRANA).
Depuis le déclenchement des attaques dans la nuit du 13 juin, on dénombre au moins 639 décès et 1 329 blessés, soit un total de 1 968 victimes. Le dernier rapport précise que dix personnes ont été tuées lors des frappes israéliennes de mercredi.
Ces attaques ont ciblé des infrastructures dans 16 provinces iraniennes, dont Zanjan, Fars, Téhéran, Ispahan, Hamedan, Alborz, Azerbaïdjan oriental, Semnan, Kermanshah, Mazandaran, Khouzistan, Ilam, Qom, Bouchehr, Guilan et Qazvin. La capitale, Téhéran, est la région la plus durement touchée.
Le rapport ne précise pas combien de victimes sont des civils ou des militaires, et les autorités iraniennes n’ont pas fourni de détails à ce sujet.
L’escalade entre Israël et l’Iran a commencé vendredi, lorsque Tel-Aviv a lancé des frappes aériennes sur plusieurs sites stratégiques iraniens, notamment des installations militaires et nucléaires. Ces attaques ont entraîné une riposte de la part de Téhéran.
