
Le vice-président sud-africain Paul Mashatile, sanctionné par le comité d’éthique du Parlement pour ne pas avoir déclaré un diamant offert à sa femme par un homme accusé de malversations, a assuré vendredi qu’il ignorait l’identité du généreux donateur.
En tant que numéro deux du pays comme de l’ANC, Paul Mashatile fait figure de favori à la succession du président Cyril Ramaphosa, peut-être dès le congrès du parti en décembre 2027.
Cette propriété est évaluée par les médias sud-africains à plus d’un million d’euros. Une autre, qui figurait déjà dans une précédente déclaration, est estimée à plus d’un million et demi d’euros.