
Ismael Boudjekada, élu dans l'Est de la France, alerte l'opinion publique sur le cas d'Amira Zaïter. Cette dernière est placée en détention provisoire à Nice pour ses tweets de soutien à la cause palestinienne. Sa fille de 13 ans, privée de tout contact avec sa mère, symbolise les conséquences humaines de cette décision judiciaire. Cette affaire suscite de vives réactions et relance le débat sur la liberté d'expression et l'égalité devant la justice.
Amira Zaïter, engagée publiquement en faveur de la cause palestinienne, subit pour la deuxième fois consécutive une détention provisoire liée à ses publications sur les réseaux sociaux. Le procureur de Nice a refusé à sa fille de 13 ans tout échange avec sa mère jusqu’à la condamnation définitive, au minimum jusqu’en janvier. Une situation qualifiée de “dramatique” par de nombreux observateurs, alors que d’autres détenus bénéficient de conditions plus favorables dans des affaires jugées plus graves.
Déclarations d’Ismael Boudjekada
L’élu appelle à l’unité et à la mobilisation pour soutenir la famille Zaïter, insistant sur la nécessité de défendre la liberté d’expression et de garantir l’égalité de traitement devant la justice.
Réactions et mobilisation
Pour s’informer ou soutenir la cause, il est possible de contacter la maison d’arrêt de Nice et de relayer l’information sur les réseaux sociaux.









