La secrétaire américaine à la Sécurité intérieure, Kristi Noem, s'entretient avec un journaliste dans son avion alors qu'elle est en vol entre Quito, en Équateur, et la base militaire Joint Base Andrews, le 31 juillet 2025.
La ministre américaine de la Sécurité intérieure, Kristi Noem, a annoncé ce mercredi que les murs à la frontière mexicaine seront peints en noir pour dissuader les migrants, conformément à la demande du président Donald Trump.
Noem a présenté cette nouvelle mesure depuis la région de Santa Teresa, dans le sud du Nouveau-Mexique, pour contrer les entrées illégales sur le territoire américain, selon le média américain "The Hill", basé à Washington, D.C.
Soulignant que la hauteur et la profondeur des murs empêchent les migrants de passer par-dessus ou en dessous, le ministère testera la peinture noire pour chauffer davantage le métal.
"Ceci, particulièrement conformément à la demande du président. Lorsqu’une surface est peinte en noir sous cette chaleur, elle devient encore plus chaude et il devient plus difficile pour les gens de la franchir"
, a-t-elle déclaré.
Équipements technologiques
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Pour empêcher les entrées illégales, Noem a précisé que des caméras et des capteurs seront également installés sur les murs.
Lors de la présentation, elle a pris un rouleau de peinture pour un test symbolique.
Le chef de la patrouille frontalière, Mike Banks, a indiqué que cette nouvelle méthode aiderait également à prévenir la corrosion des murs.
"Les statistiques de juillet pour la frontière ont été publiées et, une fois de plus, ce sont les chiffres les plus bas jamais enregistrés dans l’histoire des États-Unis"
, a déclaré le président Trump sur le réseau social américain Truth Social.
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