
Le meurtre d'Aboubakar Cissé, un jeune Malien de 22 ans, survenu le 25 avril 2025 dans la mosquée Khadidja de La Grand-Combe (Gard), dans le sud de la France, continue de provoquer des remous politiques.
Alors que l'émotion reste vive, le refus d'une minute de silence à l'Assemblée nationale en sa mémoire a ravivé les tensions.
Par voie d'une publication sur les réseaux sociaux, Mathilde Panot, présidente du groupe La France insoumise (LFI), a dénoncé le rejet de la demande de son groupe pour une minute de silence en hommage à Aboubakar Cissé.
Des rassemblements ont eu lieu à La Grand-Combe et à Paris pour rendre hommage à Aboubakar Cissé et dénoncer l'islamophobie. Le Conseil français du culte musulman a exprimé sa consternation face à cet acte et appelé à une vigilance accrue.