
Une version modifiée de la vitamine K pourrait contribuer à restaurer les neurones détruits chez les patients atteints de la maladie d’Alzheimer, selon une étude japonaise publiée lundi.
Les résultats, parus dans la revue ACS Chemical Neuroscience, proviennent d’une équipe du Shibaura Institute of Technology, qui a testé douze nouveaux analogues de la vitamine K améliorés avec de l’acide rétinoïque, un métabolite de la vitamine A connu pour stimuler la croissance des cellules cérébrales.
Les nouveaux dérivés développés se sont révélés trois fois plus efficaces pour transformer des cellules cérébrales immatures en neurones lors des essais en laboratoire.