
L’article note que ce type de "livraison" improvisée — souvent à l’aide de drones ou autres dispositifs — tend à se multiplier dans les établissements pénitentiaires.
Un groupe d’adolescents a été repéré samedi 18 octobre aux abords de la prison de Nantes-Carquefou (Loire-Atlantique). Selon la presse, l’un d’eux a été interpellé et l’ensemble des repas a été confisqué.
Selon un article du quotidien Le Figaro , l’adolescent interpellé — un mineur sans antécédent — faisait partie d’un groupe de trois qui avait l’intention de
"faire parvenir 18 plats chauds"
à des détenus en utilisant une fronde pour lancer les colis au-dessus du mur de l’enceinte pénitentiaire.
La surveillance discrète mise en place par les agents de la prison a permis de repérer l’opération avant que les colis ne soient livrés. Deux complices ont pris la fuite. Le lot a été saisi puis détruit. Le jeune mineur a écopé d’un avertissement pénal probatoire (APP) à l’issue de sa garde à vue, selon le quotidien français.
Livraison par drone
Livraison par drone
L’article note que ce type de
"livraison"
improvisée — souvent à l’aide de drones ou autres dispositifs — tend à se multiplier dans les établissements pénitentiaires. Dans ce cas, il ne s’agissait pas de téléphones ou de stupéfiants, mais d’un envoi de restauration rapide.
D’après les services pénitentiaires, le recours à des drones ou à des jets manuels par-dessus les murs a connu une nette augmentation autour des prisons françaises : 68 survols de drones ont été recensés en 2022 contre 37 en 2021 (+ 85 %) et les livraisons par drone d’objets interdits sont passées de 5 cas en 2021 à 29 en 2022.
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