"Si les Turcs, les Kurdes et les Arabes sont unis, alors les Turcs existent, les Kurdes existent et les Arabes existent. S'ils se divisent, il n'existe que séparation, défaite, échec et chagrin" a martelé le chef de l'Etat turc, Recep Tayyip Erdogan, lors d'un discours annonçant la fin de l'organisation terroriste PKK. Dans un discours historique prononcé samedi à Ankara, la capitale turque, Erdogan a proclamé la fin imminente de la menace terroriste du PKK, après 47 ans de conflit, marquée par une cérémonie symbolique de destruction des armes organisée par l'organisation terroriste PKK vendredi dans le nord de l'Irak, étape importante du processus de dissolution de l'organisation. "Depuis hier, la menace terroriste est entrée dans un processus de fin", a-t-il déclaré, soulignant que cette victoire n'est le fruit d'"aucune négociation, marchandage ou compromis".
"Si les Turcs, les Kurdes et les Arabes sont unis, alors les Turcs existent, les Kurdes existent et les Arabes existent. S'ils se divisent, il n'existe que séparation, défaite, échec et chagrin" a martelé le chef de l'Etat turc, Recep Tayyip Erdogan, lors d'un discours annonçant la fin de l'organisation terroriste PKK.
Dans un discours historique prononcé samedi à Ankara, la capitale turque, Erdogan a proclamé la fin imminente de la menace terroriste du PKK, après 47 ans de conflit, marquée par une cérémonie symbolique de destruction des armes organisée par l'organisation terroriste PKK vendredi dans le nord de l'Irak, étape importante du processus de dissolution de l'organisation.
"Depuis hier, la menace terroriste est entrée dans un processus de fin",
a-t-il déclaré, soulignant que cette victoire n'est le fruit d'
"aucune négociation, marchandage ou compromis".
Au regard des événements, Erdogan a célébré l'unité nationale, affirmant que
"la Türkiye a gagné, ma nation a gagné",
incluant
"les Turcs, les Kurdes, les Arabes"
parmi les 86 millions de citoyens que compte le pays.
"La République de Türkiye est notre foyer commun, notre maison commune. Les 86 millions, nous sommes unis, ensemble, frères pour toujours",
a-t-il martelé.
Il a insisté sur l'importance de l'unité :
"Si les Turcs, les Kurdes et les Arabes sont unis, alors les Turcs existent, les Kurdes existent et les Arabes existent. S'ils se divisent, il n'existe que séparation, défaite, échec et chagrin".
Le président a attribué ce succès au renforcement de l'industrie de défense turque, à la production d'armes nationales et aux opérations transfrontalières ayant sécurisé les frontières.
Il a également évoqué une coopération avec le gouvernement syrien et les organisations internationales pour clore
"le chapitre du terrorisme"
dans la région, prédisant que
"la fraternité l'emportera".
Erdogan a conclu en annonçant l'ouverture d'une
"nouvelle page dans l'histoire"
de la Türkiye, décrivant un pays
"plus puissant, plus imposant qu'hier"
et optimiste pour l'avenir, à l'aube du "Siècle de la Türkiye".
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