
Le constructeur Stellantis, né de la fusion entre Fiat Chrysler et PSA (Peugeot-Citroën), a confirmé jeudi la mise en place d’un plan de départs volontaires portant sur jusqu’à 200 postes dans son usine de Termoli, dans le sud-est de l’Italie.
Des suppressions également envisagées ailleurs en Italie
L’impact des droits de douane américains pèse
Une direction en attente de renouvellement
Depuis le départ de Carlos Tavares fin 2024, Stellantis est également confronté à un vide à la tête de sa direction. Le groupe a annoncé qu’un nouveau directeur général sera nommé d’ici fin juin 2025.
Une transformation stratégique en cours
La réorganisation de l’emploi dans les sites italiens s’inscrit dans une stratégie plus large de transformation industrielle du groupe face aux mutations du secteur automobile: électrification, pression concurrentielle, relocalisation et tensions géopolitiques.